Il a dénoncé une “catastrophe humanitaire” — il affirme que, dans la zone « axe Kamanyola-Uvira », plus de 200 000 déplacés ont été recensés, avec des « morts par dizaines » et de nombreux blessés.
L’accord de paix signé à Washington déjà mis à mal — la chute d’AFC/M23 à Uvira illustre l’échec immédiat
#RDC:
Malgré la signature d’un accord de paix entre la RDC et Rwanda en décembre 2025, les combats se poursuivent dans l’Est, notamment entre l’armée congolaise et le groupe rebelle M23.
Depuis plusieurs mois, la capitale congolaise connaît une recrudescence inquiétante d’actes de criminalité urbaine : agressions nocturnes, braquages à main armée, activisme accru des « kulunas », phénomènes de gangs dans les quartiers populaires. Alors que les habitants dénoncent une insécurité grandissante, une question revient avec insistance dans les milieux politiques et citoyens : le départ de Constant Mutamba du ministère de la Justice a-t-il laissé un vide qui favorise l’expansion du banditisme ?
Le Conseil Canadien de Représentation des Communautés Congolaises (CCRCC) qui avait exprimé sa préoccupation face aux informations entourant Willy Manzi Ngarambe, résident de Gatineau, et appelle les autorités canadiennes à ouvrir une enquête officielle.
Voici une version corrigée, cohérente et fluide, tout en respectant les faits :
Donald Trump a supervisé à Washington la signature d’un accord de paix entre la RDC et le Rwanda, qu’il a décrit comme un véritable « miracle », malgré la persistance de violents affrontements dans l’est du Congo. Paul Kagame a salué une médiation « pragmatique », tout en soulignant que la mise en œuvre de l’accord serait marquée par des « hauts et des bas ». Félix Tshisekedi a également exprimé sa gratitude envers Donald Trump pour « l’ouverture d’un nouveau chemin », tout en reconnaissant que ce processus serait « exigeant » et « difficile ».
