Nangaa tente honteusement de saper l’autorité de l’État et de dresser les FARDC contre leur Commandant suprême
En cette heure grave de l’histoire de la République démocratique du Congo, Corneille Nangaa, aujourd’hui aligné avec le M23, a franchi une ligne rouge irréversible. Par une falsification grossière, cynique et criminelle du discours du Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, Fatshi Béton, il tente sciemment de saper l’autorité de l’État et de dresser les FARDC contre leur Commandant suprême.
Qu’il soit écrit et proclamé devant la Nation : cet acte n’est ni une opinion, ni une erreur, ni un débat politique. C’est un crime moral contre la République, une tentative de putsch psychologique, une entreprise calculée de désintégration interne de l’État congolais en temps de guerre.
En instrumentalisant les mots du Chef de l’État, Nangaa révèle son vrai visage : celui d’un homme sans patrie, prêt à livrer l’armée nationale à la confusion, le peuple à la discorde, et la Nation à l’humiliation, au profit d’agendas étrangers. C’est une posture infâme, indigne de l’histoire du Congo, indigne du sang versé par nos martyrs, indigne même du silence.
Qu’on ne s’y trompe pas : le M23 n’est pas un mouvement politique, c’est un outil de subversion, un bras armé de la déstabilisation régionale, et Nangaa en est aujourd’hui la voix civile la plus toxique. Leur objectif est clair : briser l’unité sacrée entre l’État, l’armée et le peuple, car ils savent que tant que cette unité tient, la RDC est invincible.
Mais la République ne vacille pas.
Les FARDC ne sont ni naïves, ni amnésiques, ni infiltrables. Elles sont une armée républicaine, forgée dans l’épreuve, fidèle à la Constitution, consciente que désobéir au Chef de l’État, c’est ouvrir la porte à l’anarchie et à la balkanisation.
Aujourd’hui, le masque est tombé.
Il n’y a plus d’ambiguïté, plus d’excuse, plus de zone grise.
Qui manipule l’armée contre la République se place lui-même hors de la Nation.
Qui travestit la parole présidentielle en temps de guerre signe son propre verdict historique.
La RDC ne négocie pas avec la trahison.
La République ne dialogue pas avec la manipulation.
Et l’Histoire, elle, n’absout jamais les traîtres.
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